Conservation des ovoctyes
Les "recalées" de l'autoconservation d'ovocytes
À tout juste 34 ans, Hélène a saisi une "formidable opportunité" offerte par la loi : la congélation de ses ovocytes pour arrêter son horloge biologique.
"On nous met tellement la pression sur la chute de la fertilité à partir de 35 ans que j'avais déjà demandé à ma gynéco de tester ma réserve ovarienne, elle avait refusé", raconte la consultante. Au centre de fertilité de l'Hôpital Cochin, elle obtient un créneau dix-huit mois plus tard.
"C'est le rendez-vous de ma life, je pose une RTT, rac...
"On nous met tellement la pression sur la chute de la fertilité à partir de 35 ans que j'avais déjà demandé à ma gynéco de tester ma réserve ovarienne, elle avait refusé", raconte la consultante. Au centre de fertilité de l'Hôpital Cochin, elle obtient un créneau dix-huit mois plus tard.
"C'est le rendez-vous de ma life, je pose une RTT, rac...
Elise, le bébé de l'espoir
Céline a subi un traitement anti-cancer qui l’a rendue stérile. Mais avant la chimiothérapie, elle avait pu congeler ses ovocytes. Elle vient de donner naissance à Elise. Récit d’une belle première française. Par Isabelle Duriez. Photographe Laurent Bochet.
Fertilité : elles ont congelé leurs ovocytes
DOSSIER. De 2005 à 2014, j'ai écrit sur la congélation des ovocytes : des pionnières californiennes aux premières françaises à témoigner à visage découvert en France, rencontres et enquêtes sur cette nouvelle techniques de PMA qui révolutionne la maternité.
Publications par Isabelle Duriez. Photographie Jean-Luc Bertini.
Publications par Isabelle Duriez. Photographie Jean-Luc Bertini.
René Frydman : "L'enjeu de la PMA est l'autonomie des femmes"
Ses mains immenses ont mis au monde des milliers d’enfants. Des naissances qui, en quarante ans de carrière, n’ont cessé d’évoluer au gré des techniques et des combats : à la pointe de la procréation médicalement assistée (PMA), le Pr René Frydman est aussi un militant. L’obstétricien s’est battu pour que la douleur, les choix et les désirs les femmes soient pris en compte. Par Isabelle Duriez. Photo Yann Rabanier
